Créé en 1977, le lac du Val d'Auron offre une superficie de 73 ha, à moins de 2 km du centre-ville.
La pêche, la voile, l'aviron et le canoë-kayak y sont pratiqués tout au long de l'année.
Les grands arbres et les vastes étendues herbeuses de ses berges invitent autant à l'exercice physique qu'au farniente. Vous pouvez y pratiquer librement sports de balle, cerf-volant... ou emprunter la rocade verte qui permet de faire tout le tour sur une surface stabilisée idéale pour marcher, courir, faire du roller ou de la trottinette.
Les plus courageux pourront partir à la découverte du canal de Berry depuis l'écluse de l'Etourneau. En effet au sud du lac, vous pourrez rejoindre Plaimpied via l’aménagement cyclable réalisé le long du Canal.
Vous trouverez aussi sur les rives du lac des courts de tennis, un centre hippique, une aire de loisirs avec terrains de boules et de volley, tables et barbecues, et à quelques pas un golf 18 trous.
Les derniers équipements réalisés permettent maintenant d’avoir accès à un terrain de basket3x3, une station de fitness et un skate-park.
L’été, vous pourrez venir vous baigner sur la plage, située près de la base de voile, sous la surveillance de maitres-nageurs sauveteurs.
L'île qui agrémente le plan d'eau est vite devenue le point de rendez-vous de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs, que vous pourrez apprendre à reconnaître en compagnie d'associations locales. Les enfants adoreront regarder s'ébattre les canards, oies et cygnes qui se pressent sur les berges.
Une partie des rives du plan d'eau fait l'objet de diverses protections réglementaires (arrêté préfectoral de protection de biotope, espace naturel sensible), que justifie son intérêt écologique.
Le lac est longé par la zone de champs captant du Porche qui alimente en eau potable une partie de la Ville de Bourges, signe de la qualité de ce site.
Le service Espaces Verts a mis en place une gestion différenciée des berges. Depuis 2004, La tonte hebdomadaire des 50 hectares de berges a été remplacée par deux fauches annuelles, en juin et fin septembre. Ainsi, les fleurs indigènes se développent et agrémentent à nouveau les prairies. Si vous êtes attentifs, vous aurez peut-être la chance d’observer des martins pêcheurs.